mercredi 27 août 2014

“C’est en riant que nous nous sommes dévêtus”

Dominique, chef de rayon, premier orgasme à 45 ans
« C’est un des beaux cadeaux que m’a fait la vie. Tardif mais inespéré, six mois après mon divorce. Le sexe avec mon mari tenait à la fois de la tendresse et de la formalité. S’il espérait plus de moi, il ne me l’a jamais demandé. Quand cet homme de dix ans mon cadet m’a regardé comme un sapin de Noël, dans un dîner, je me suis sentie revivre. Il me donnait un avenir. Nous avons discuté toute la soirée. J’étais fascinée par son élocution, son humour. C’est en riant que nous sommes arrivés dans le studio qui jouxtait sa petite librairie. En riant que nous nous sommes dévêtus. C’était naturel, sans réserve ni mouvements de recul ou de gêne… Incroyable, cette aisance avec laquelle ses mains m’accaparaient. Il aimait “la” femme, toutes les femmes, c’était une évidence. Je n’avais jamais rencontré un être charnellement si libre et je suis rentrée dans son jeu. Non seulement j’ai joui pour la première fois, mais j’ai senti un liquide tiède couler abondamment de mon sexe. Il a eu l’air de trouver cela normal. “Tu es sensuelle, une femme fontaine”, m’a-t-il dit. »

Outils : Quand l’accessoire fait l’essentiel

Etonnantes Françaises, qui sont tout de même 7 % à utiliser un accessoire pour se procurer du plaisir (contre 4 % des Américaines) (Enquête Spira, 1992). Approuvées en cela par la sexologue Barbara Keesling (auteur du Super Orgasme au féminin (Albin Michel), qui conseille le vibromasseur pour explorer les zones érogènes féminines et stimuler l’orgasme. Un bémol toutefois : le risque d’insensibilisation à l’acte sexuel, quand la femme s’habitue à la forte intensité des vibrations de l’appareil. De forme allongée, le vibromasseur peut ressembler à un pénis et se trouve dans diverses tailles, couleurs et textures, plastique rigide ou élastomère souple. Les modèles les plus récents sont équipés d’un variateur d’intensité. En vente dans les sex-shop, catalogues de vente par correspondance et sur Internet (www.1000folies.com).

Simuler : Une dangereuse bombe à retardement

De façon générale, simuler la jouissance répond au besoin de donner à son partenaire les preuves de sa compétence. Dans sa version légère, la simulation se traduit par une exagération des manifestations d’un plaisir réel mais modéré, elle peut agir comme un stimulant qui relance le jeu érotique. Mais lorsqu’elle est chronique, elle envoie à l’autre un message totalement erroné, signe pour les sexologues d’une mauvaise relation dans le couple. Le manque d’intimité et les jeux de domination-soumission remplacent alors confiance et lâcher-prise.
Il arrive aussi que les hommes y aient recours – même s’il est difficile de simuler une érection, comme le rappelait judicieusement Woody Allen. « Cela peut être inconscient, précise le docteur Jean-Luc Thoréton, sexologue. Les trois quarts des hommes confondent éjaculation et orgasme, parce qu’ils n’ont jamais connu ce dernier. Ils vont donc exagérer ce qui n’est qu’une sensation mécanique agréable et la faire passer pour le summum de la jouissance. Mais ce peut être aussi, à l’instar des femmes, une façon de rassurer sa partenaire et de se l’attacher. »
Quand elle est systématique, la simulation est une bombe à retardement qui se retourne invariablement contre qui la pratique. « Les femmes ont tout à perdre à s’y adonner, poursuit le sexologue. C’est la meilleure façon de faire une croix sur le plaisir et d’empêcher la sexualité et la relation amoureuse de progresser et de mûrir. »

http://danylov-magazine.blogspot.com/2014/08/temoignages-leur-premier-vrai-orgasme_51.html

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